TRIBUNE
Posté : 20 nov. 2010, 19:22
n'ayant pas accès à la tribune car je poste sous un pseudo, je souhaite mettre en ligne un message à l'attention de mes amis représentants des OS et des collectifs.
Chers Amis, chers collègues, cher Bruno, Marie Ange, Olivier.
Je viens me présenter devant vous par écrit, puisque je n’arrive plus à contacter certains d’entre vous et je suis assez perturbé de l’ambiance qui règne. Il semblerait que j’en sois aussi partiellement fautif et je viens donc ici faire un grand méa culpa.
Oui c’est moi qui ai mis sur ce forum cette fameuse missive d’un syndicat parce que j’en avais marre de la rumeur, parce que cela pourrissait dans les discussions de certains, et j’avais envie de percer l’abcès pour aller de l’avant et montrer que dans ce combat, les querelles d’égo sont plus un achoppement qu’un soutien à notre cause. Je n’ai pas l’habitude de me cacher, mais il est aussi vrai que cela n’aurait pas dû être à moi de dénoncer certaines choses. Mais voilà, je suis entier et parfois frontal. Dans ces qualités résident aussi mes limites parfois à pouvoir atteindre sans le vouloir réellement des personnes qui luttent aussi pour ce mouvement. Je suis maladroit mais pas hypocrite, et prêt à entendre certains reproches. Les collectifs bien qu'ils soient nécessaires et importants n'ont pas toujours su pour certains amener la tranquillité nécessaire à l'équilibre de nos relations. C'est dommage car dernière nos petits soucis bien personnels se joue l'avenir de toute une profession.
Je tiens donc publiquement ici à faire des excuses à Bruno Franceschi que j’ai certainement blessé avec ce geste. J’imagine que tu t’es senti trahis alors qu’il n’en est rien. Tu le sais, je ne suis pas un méchant ours, et je n’ai pas toujours les éléments pour avoir le recul. Excuses moi aussi auprès de tes proches qui auraient pu en être affecté. Tu le sais aussi je suis ouvert à la discussion et aux récriminations. Je ne souhaite pas que ce malentendu ternisse ton engagement dans cette lutte. Tu es bien plus important à cette cause que moi ou certains personnages de collectifs. Reviens au contact du mouvement car j’ai la sensation partagée de te voir éloigné de nous. Peut-être le burn out d’un investissement corps et âme que nous avons connu à une échelle moindre. Je prends ici l’occasion de publiquement te remercier au nom de mes collègues pour ton implication auprès de nos camarades IADE poursuivis en justice.
Je saisi aussi cette tribune pour présenter des excuses aux personnes d’autres collectifs que j’aurais pu froisser ou bousculer. Il n’y a chez moi aucune violence, je suis juste brut de décoffrage. Carole reçois mes excuses aussi. Je ne suis ni misogyne ni intolérant. Merci aussi pour ton engagement et ton envie de faire avancer ce mouvement, parfois comme moi maladroitement.
Merci enfin à Marie Ange Saget, pour laquelle j’exprime ici une grande admiration et un courage exceptionnel. Je souhaite que tu restes présente dans cette lutte plus que tout avec Bruno et Olivier. Je ne conçois pas qu’il puisse en être autrement. Merci pour nos longues discussions qui auront su aider ma réflexion à évoluer sur le SNIA. J’espère sincèrement que l’idée d’OPA de certains sur le syndicat n’arrivera jamais à ses fins pour la sérénité de ce mouvement.
Merci à Olivier pour sa droiture et sa transparence, pour son implication. En tout cas, tu fais honneur à ton syndicat et je suis heureux d’avoir fait ta connaissance.
Quant à moi, je n’ai aucune ambition dans ce mouvement, simplement laisser à la postérité de mes collègues le souvenir d’avoir lutté courageusement. Je ne souhaite pas que ma présence puisse nuire à la cohésion nationale de ce mouvement et je vais donc me retirer progressivement si c’est le souhait afin de laisser la place à ceux qui voudront prendre le relai. Si ce recul peut permettre de ressouder la cohésion et renouer les liens entre les collectifs, CGT, SUD et SNIA, alors cela sera une chose positive.
J’ai été heureux de vous côtoyer, content de vous connaitre et d’apprendre de vous. Je reste un IADE, fier de l’être, fier de ce combat. Je resterai présent dans l’ombre, présent aux mouvements nationaux. Même si nous n’avons pas toujours été d’accord, merci à vous compagnons.
Je n’abandonne pas cette lutte.
L'executeur, le père Noël
Stéphane HOUMEAU de son vrai nom,
Strasbourg
toujours dispo pour une bonne bière et une tarte flambée,
ou un vin chaud et un bretzel au marché de Noël !
@ bientôt
édité pour correction des coquilles...
Chers Amis, chers collègues, cher Bruno, Marie Ange, Olivier.
Je viens me présenter devant vous par écrit, puisque je n’arrive plus à contacter certains d’entre vous et je suis assez perturbé de l’ambiance qui règne. Il semblerait que j’en sois aussi partiellement fautif et je viens donc ici faire un grand méa culpa.
Oui c’est moi qui ai mis sur ce forum cette fameuse missive d’un syndicat parce que j’en avais marre de la rumeur, parce que cela pourrissait dans les discussions de certains, et j’avais envie de percer l’abcès pour aller de l’avant et montrer que dans ce combat, les querelles d’égo sont plus un achoppement qu’un soutien à notre cause. Je n’ai pas l’habitude de me cacher, mais il est aussi vrai que cela n’aurait pas dû être à moi de dénoncer certaines choses. Mais voilà, je suis entier et parfois frontal. Dans ces qualités résident aussi mes limites parfois à pouvoir atteindre sans le vouloir réellement des personnes qui luttent aussi pour ce mouvement. Je suis maladroit mais pas hypocrite, et prêt à entendre certains reproches. Les collectifs bien qu'ils soient nécessaires et importants n'ont pas toujours su pour certains amener la tranquillité nécessaire à l'équilibre de nos relations. C'est dommage car dernière nos petits soucis bien personnels se joue l'avenir de toute une profession.
Je tiens donc publiquement ici à faire des excuses à Bruno Franceschi que j’ai certainement blessé avec ce geste. J’imagine que tu t’es senti trahis alors qu’il n’en est rien. Tu le sais, je ne suis pas un méchant ours, et je n’ai pas toujours les éléments pour avoir le recul. Excuses moi aussi auprès de tes proches qui auraient pu en être affecté. Tu le sais aussi je suis ouvert à la discussion et aux récriminations. Je ne souhaite pas que ce malentendu ternisse ton engagement dans cette lutte. Tu es bien plus important à cette cause que moi ou certains personnages de collectifs. Reviens au contact du mouvement car j’ai la sensation partagée de te voir éloigné de nous. Peut-être le burn out d’un investissement corps et âme que nous avons connu à une échelle moindre. Je prends ici l’occasion de publiquement te remercier au nom de mes collègues pour ton implication auprès de nos camarades IADE poursuivis en justice.
Je saisi aussi cette tribune pour présenter des excuses aux personnes d’autres collectifs que j’aurais pu froisser ou bousculer. Il n’y a chez moi aucune violence, je suis juste brut de décoffrage. Carole reçois mes excuses aussi. Je ne suis ni misogyne ni intolérant. Merci aussi pour ton engagement et ton envie de faire avancer ce mouvement, parfois comme moi maladroitement.
Merci enfin à Marie Ange Saget, pour laquelle j’exprime ici une grande admiration et un courage exceptionnel. Je souhaite que tu restes présente dans cette lutte plus que tout avec Bruno et Olivier. Je ne conçois pas qu’il puisse en être autrement. Merci pour nos longues discussions qui auront su aider ma réflexion à évoluer sur le SNIA. J’espère sincèrement que l’idée d’OPA de certains sur le syndicat n’arrivera jamais à ses fins pour la sérénité de ce mouvement.
Merci à Olivier pour sa droiture et sa transparence, pour son implication. En tout cas, tu fais honneur à ton syndicat et je suis heureux d’avoir fait ta connaissance.
Quant à moi, je n’ai aucune ambition dans ce mouvement, simplement laisser à la postérité de mes collègues le souvenir d’avoir lutté courageusement. Je ne souhaite pas que ma présence puisse nuire à la cohésion nationale de ce mouvement et je vais donc me retirer progressivement si c’est le souhait afin de laisser la place à ceux qui voudront prendre le relai. Si ce recul peut permettre de ressouder la cohésion et renouer les liens entre les collectifs, CGT, SUD et SNIA, alors cela sera une chose positive.
J’ai été heureux de vous côtoyer, content de vous connaitre et d’apprendre de vous. Je reste un IADE, fier de l’être, fier de ce combat. Je resterai présent dans l’ombre, présent aux mouvements nationaux. Même si nous n’avons pas toujours été d’accord, merci à vous compagnons.
Je n’abandonne pas cette lutte.
L'executeur, le père Noël
Stéphane HOUMEAU de son vrai nom,
Strasbourg
toujours dispo pour une bonne bière et une tarte flambée,
ou un vin chaud et un bretzel au marché de Noël !
@ bientôt
édité pour correction des coquilles...