Certes, quand je disais "tranquille", c'était à prendre dans le sens "je préfère débuter par des endoscopies ASA1 que des thoracoASA12U ":=)
La journée était des plus sympas.
On t'avance ton travail au point que tu n'a presque plus qu'à induire...Je vais oublier comment on pique moi.
Les trois journées suivantes seront plus variées et vendredi, je m'attelle sur une journée varices sur l'établissement N°2.
Bref, première journée agréable, du coup, j'y retourne demain.
Premiers pas d'un IADE freelance
Modérateur : Marc
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mr.cocktail
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BOUËDRON YVONNICK
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Effectivement, c'est un peu "l'avantage" du privé, les panseuses te préparent le patient (scope TA Sat voire perf ) te laisant te concentrer sur le dossier et les éventuels problèmes posés par le patient.
En fait,elles font avec l'Iade ce qu'elles font avec le Mar .
Bref, nous attendons la suite de tes aventures ...
A +
En fait,elles font avec l'Iade ce qu'elles font avec le Mar .
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mr.cocktail
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mr.cocktail
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Tiens, j'avais oublié ce sujet.
Il nécessite une grosse mise à jour.
En effet...je ne travaille plus là.
Donc je peux parler un peu plus librement.
Si les premiers mois étaient sympa, de gros problèmes d'organisation se sont vite fait sentir.
Premièrement, les MAR me refilaient ce dont ils ne voulaient pas. Bon, jusque là, comportement normal.
Puis, au fil des jours, ça commençait à craindre du boudin comme ont dit:
"Tu peux venir au bloc 4? le patient a 4 de tension?
Einh? ben, et xxx, elle est où?
elle est partie faire ses consultations et elle a dit, si y'a un problème, appelez l'iade"
Bon, là, ça commence à craindre.
Puis après, ils se sont aperçu que je leur coutais cher. En effet, j'étais payé par l'établissement, mais quand je faisais des actes, le MAR devait retourner un pourcentage à l'établissement.
Du coup, truc vicieux, certain ont commencé à faire tourner deux ou trois blocs seuls, disant "non non, je n'ai pas besoin de toi aujourd'hui'.
Bref, de jour en jour, j'avais moins de travail, question unique de pognon.
Comme la clinique n'arrivait pas à embaucher une IDE en sspi, ils ont commencé à m'y coller de plus en plus. Jusqu'à s'apercevoir que c'était bien pratique: on collait l'iade en sspi, on lui refilait deux trois surveillance per-op, parfois sans lui dire, ainsi on pouvait consulter tranquille et aligner encore plus de chiffre. (la mar star de la clinique fait dans les 50k€ mensuels)
Bref, j'ai essayé de faire bouger les choses, mais impossible.
J'ai donc démissionné.
J'ai aujourd'hui retrouvé un poste dans une autre polyclinique, six blocs, trois mar, trois IADE. Une quinzaine que j'y suis et je m'y sens plutôt bien, et en plus, j'y suis mieux payé.
Voilà pour les nouvelles.
Il nécessite une grosse mise à jour.
En effet...je ne travaille plus là.
Donc je peux parler un peu plus librement.
Si les premiers mois étaient sympa, de gros problèmes d'organisation se sont vite fait sentir.
Premièrement, les MAR me refilaient ce dont ils ne voulaient pas. Bon, jusque là, comportement normal.
Puis, au fil des jours, ça commençait à craindre du boudin comme ont dit:
"Tu peux venir au bloc 4? le patient a 4 de tension?
Einh? ben, et xxx, elle est où?
elle est partie faire ses consultations et elle a dit, si y'a un problème, appelez l'iade"
Bon, là, ça commence à craindre.
Puis après, ils se sont aperçu que je leur coutais cher. En effet, j'étais payé par l'établissement, mais quand je faisais des actes, le MAR devait retourner un pourcentage à l'établissement.
Du coup, truc vicieux, certain ont commencé à faire tourner deux ou trois blocs seuls, disant "non non, je n'ai pas besoin de toi aujourd'hui'.
Bref, de jour en jour, j'avais moins de travail, question unique de pognon.
Comme la clinique n'arrivait pas à embaucher une IDE en sspi, ils ont commencé à m'y coller de plus en plus. Jusqu'à s'apercevoir que c'était bien pratique: on collait l'iade en sspi, on lui refilait deux trois surveillance per-op, parfois sans lui dire, ainsi on pouvait consulter tranquille et aligner encore plus de chiffre. (la mar star de la clinique fait dans les 50k€ mensuels)
Bref, j'ai essayé de faire bouger les choses, mais impossible.
J'ai donc démissionné.
J'ai aujourd'hui retrouvé un poste dans une autre polyclinique, six blocs, trois mar, trois IADE. Une quinzaine que j'y suis et je m'y sens plutôt bien, et en plus, j'y suis mieux payé.
Voilà pour les nouvelles.