L'édito de Jean Marc SERRAT

L'espace de communication offert aux représentants nationaux de notre profession

Modérateur : Marc

Avatar du membre
Maxime
Administrateur
Messages : 6620
Enregistré le : 06 avr. 2003, 11:09
Année de diplôme IADE : 2004
Poste occupé actuellement : Cadre IADE
Localisation : Toulouse
Contact :

L'édito de Jean Marc SERRAT

Message : # 62796Message non lu Maxime »

Image
60 ans que le SNIA existe.

Ce qui a été dit ou fait au nom du SNIA lors de ces 60 dernières années fait partie du passé et s’ inscrit dans l’histoire du syndicat et de notre métier. Les décisions prises par le SNIA n’ont peut-être pas toujours satisfait l’ensemble de la profession ou fait l’unanimité parmi tous les IADE.

Il est difficile, voire quelques fois impossible, de satisfaire chaque membre d’un même groupe.

Mais depuis 60 ans et aujourd’hui encore, le SNIA est toujours là.

Avec notamment l’article 51 de la loi HPST et les Recommandations Formalisées d’Experts en ligne de mire, le SNIA veille et s’élève dès qu’un danger semble voir le jour. Membre du H.C.P.P. (Haut Conseil des Professions Paramédicales), il participe aux débats et à l’adoption des textes gérants les paramédicaux. Il participe à l’I.F.N.A. (International Fédération of Nurse Anestétists). Il est actuellement l’un des acteurs de la réingénierie de la formation d’infirmier anesthésiste. Etc.…

En fait, partout où il est question de la profession d’infirmier anesthésiste ou de son avenir, le SNIA est là.

Je ne suis personnellement adhérent SNIA que depuis le printemps 2010.

Je ne fais partie du conseil syndical et du bureau du SNIA que depuis janvier 2011.

Je ne suis pas un membre historique du SNIA.

Mais je suis infirmier anesthésiste depuis maintenant quelques années.

Et je pense que si notre profession a pu évoluer depuis ses balbutiements et être ce qu’elle est devenue aujourd’hui, c’est certainement, en grande partie, grâce à l’ensemble des adhérents qui forment le SNIA.

Il faut que les IADE arrêtent de regarder trop en arrière, il est temps de tous penser à l’avenir.

Il est aujourd’hui nécessaire d’abandonner définitivement les vieilles rancœurs.

Le SNIA a déçu certains dans le passé ? Eh bien, qu’ils pensent à demain !

Il ne tient qu’à eux de modifier les choses. Il ne tient qu’à la profession de façonner cet outil comme elle le désire.

Nous devrions vivre tous sous le même toit et participer ensemble à l’entretien de cette vieille demeure.

La priorité, c’est demain et notre avenir est commun.

N’hésitez pas à faire passer le message.

Bonnes fêtes de fin d’année à tous.

Jean-Marc Serrat.

Président (int.) du SNIA
Répondre